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NAM-IP Infos 2017/1 – Recherche
Le colloque «Namur: pionnière du numérique» à l'occasion de l'inauguration du Computer Museum NAM-IP à l'Université de Namur, 28 octobre 2016

Plan du Colloque ▲

Introduction d’ouverture au Colloque du 28 octobre

Marie d’Udekem-Gevers, Chargée de cours extérieure en Faculté d’informatique de l’UNamur Responsable de l’organisation du Colloque

Enfin, voici le 28 octobre! Je dis «enfin» car voilà de nombreux mois que nous préparions le Colloque de cette après-midi!

Et quand je dis «nous», je me présente comme la porte parole de la Task Force, créée le 14 avril 2015 pour concrétiser une synergie entre
d’une part, l’Université de Namur, en particulier sa Faculté d’informatique qui vous invite aujourd’hui, et
d’autre part, le tout nouveau musée namurois s’ouvrant aujourd’hui même au public sous l’ombrelle de la Fondation Roi Baudouin: je veux bien sûr parler du Computer Museum NAM-IP.

À l’évidence, ce musée centré sur l’informatique pionnière présente des accointances avec la Faculté d’informatique qui fut elle-même pionnière en Belgique dans le domaine de l’informatique et qui dispense à ses étudiants un cours obligatoire d’histoire de l’informatique (histoire partiellement illustrée d’ailleurs dans le hall d’entrée). Cette synergie entre les deux institutions est donc particulièrement heureuse et bienvenue!

Je voudrais tout d’abord remercier tous ceux qui ont œuvré avec moi à la préparation du présent événement: à commencer, évidemment, les membres de cette Task Force à savoir
- mes collègues Jean-Marie Jacquet et Wim Vanhoof, tous deux professeurs dans la Faculté d’informatique, et aussi
- R.-Ferdinand Poswick (qui fut l’initiateur et le pilier, avec sa collaboratrice Yolande Juste, du Computer Museum et est en l’actuel directeur),
- Gilbert Natan (président de l’ASBL Nam-IP), Clara Erpicum (responsable de l’animation du Musée) et Luc Arnould (responsable des relations publiques de l’ASBL Nam-IP).

Je voudrais ensuite dire ma profonde gratitude envers celle qui, tout en travaillant dans l’ombre, fut cependant essentielle à la mise en oeuvre pratique de ce colloque. Les membres de la Faculté d’informatique m’auront compris: je fais allusion ici à la très efficace et dévouée secrétaire du doyen: Babette Di Guardia. Merci aussi à Cédric Aerts du Service Informatique Facultaire qui a réalisé le site web d’inscription au colloque.

Au nom de la Task Force, je me permets ensuite de dire merci à toux ceux qui ont accepté de prendre la parole pour faire un exposé ici cette après-midi. Ces orateurs viennent de différents horizons namurois: l’Université et le Computer Museum, bien sûr, mais aussi la Haute Ecole de Namur-Liège-Luxembourg (IESN), l’IMEP (c.-à-d. l’Institut supérieur de musique et de pédagogie de Namur), le BEP (Bureau économique de la Province de Namur) et la Ville de Namur. Ils vont nous parler d’abord du passé mais ensuite du présent et de l’avenir du numérique à Namur.

Toujours au nom de la Task Force, je voudrais aussi remercier toutes les autres personnes ici présentes, et vous êtes nombreux! Certains, comme Guido Jardon, directeur de l’IMEP, font véritablement partie du paysage namurois. D’autres arrivent d’au delà de la frontière linguistique voire même de l’étranger: je voudrais saluer particulièrement la présence de Jacques Loeckx, pionnier de l’informatique et professeur émérite à l’Université de la Sarre en Allemagne, Rita de Caluwe, professeur émérite à l’Université de Gand, Pierre Mounier-Kuhn historien de l’informatique, chargé de recherche au CNRS, Isabelle Astic Responsable des collections ‘informatique et réseau’ au Conservatoire Nationale des Arts et Métiers (CNAM, Paris).

Cher Jacques, chère Rita, chers Pierre et Isabelle, nous sommes particulièrement heureux et honorés de votre venue à Namur!

Le présent colloque veut célébrer le caractère pionnier de Namur dans le domaine de l’informatique et du numérique. Il est révélateur de collaborations déjà existantes en la matière à Namur: je termine mon introduction en faisant le vœu que cette après-midi soit aussi l’occasion d’un renforcement de ces synergies. Car comme l’affirme avec force Vincent Englebert, mon doyen: «L’avenir de la Wallonie, c’est le numérique».

Il est temps pour moi à présent de céder la parole aux trois autorités qui vont maintenant se succéder pour nous faire une allocution: Yves Poullet, recteur de l’Université de Namur, puis Vincent Englebert, doyen de la faculté d’informatique et enfin Dominique Allard (Directeur des Fonds Patrimoniaux de la Fondation Roi Baudouin).